Poème (deuxième exquise)
Le mot atteignit la fin de l’univers,
Dans la flamme de soleil et la force humaine.
Les mondes et les fleurs,
Disparaissent à la vitesse du vent,
Et moi, j’apprends toujours à lire.
Je regarde, écoute et j’écris,
Gardant certains jours dans la mémoire.
Je gaspille avec rythme l’expression de la passion,
Je traduis l’amour en passant sous le ciel,
Et je crois en rêves de Jules Verne,
Pressentiments de Kafka, les sonnets de Homère,
Oui, je vote pour la liberté de l’homme et oiseaux.
Y.