Ici viennent frapper tous les vents.
La porte s'ouvre et entre l'espoir qui nous manquait.
La feuille dégringole de l'arbre,
puis une branche qui tient en elle les murs.
Espace d'une vie,
d'un coeur qui se repose.
Le chant de l'oiseau souffle en miroir
et brise les contours.
Le rayon s'assombrit
au silence retrouvé.
Cette source calme.
La tète en bloc.
La limite qui se confond,comme le cràne se fend.
Rien d'autre qu'un murmure,
qui aurait perdu son temps.
Un oeil qui se ferme, une larme qui court.