Les chaines en réseaux et le fatras urbain, un défilé moderne parade dans la ville, circuit dans le blem et toutes lèvres cousues.il n'y a qu'un seul monde qui nous tient en captivité. Abandonner toute croyance dans l'urne pour élire un président.Creuser votre trou, le jardin est grandiose, j'ai des vues d'en bas,et,la somme est bonne, boir son thé devant l'écran, passianter, votre heure viendra border vos yeux,lourd rideau d'un théâtre, l'ennui se propage sur tout ton corp.je m'absente,glisse hors de l'enceinte à travers mûrs.Me voilà libre. J'appel un taxi faisant signe dans l'air muet,il est noir et fume son cigare,cabana qui m'dit et le ciel luit sous l'angoisse d'une autre déité,mer fleuve huileux cadavre dans une ruelle en fleurs jaune fixé sur l'angle de l'immeuble,et j'en passes,des égouts de brouillard, sur la chaussé mouillé. j'entrais dans un bar en pleur,cette nuit on y jouais du Blues.buvaient des rêves,gorgés d'image en noir et blanc,sur la petite table ronde,des bribes éparses, poésie beat,un vers se lève, ensuite trou blanc,puit de mémoire.
Des feuilles volantes ça et là,vision d'automne,d'orage bleus peut être.
Les yeux d'ce mec paraissent aveugles mais remplis d'aube.
Alors j'ai sortis ma tête de l'eau et saisis une serviette.
j'étais enfin réveiller.