Toi, ma petite ville,
Tu n'es pas d'embruns,
Ni de marées,
Tu n'es pas d'équinoxe, de grand vent
Tu ne viens pas de la mer
Les vagues et les algues
Ne viennent pas jusqu'à toi.
Tu es un un écrin,un beau joyau
Au milieu des grands arbres,
Impassibles géants
Qui t'entourent de mystère,
Te protègent de la folie des hommes.
Ton parc au coeur de la ville,
Les champs qui t'entourent,
Les oiseaux qui chantent à tue-tête,
Dans ce cadre bucolique;
les quais désuets au charme d'antan,
Le ciel qui se mire dans la Seine...
Un site de verdure
Au bord de l'eau qui coule
Les amoureux transis qui s'enlacent sur les bancs
Devant les cygnes, leurs témoins
Qui regardent le fleuve
Porter leurs rires et leurs rêves
Par-delà l'horizon...