Les bus de l'insomnie aux couloirs hantés
des routes de la cité antique
on entend chanter la ruine
des contes pour les enfants
qui aide à endormir la civilisation.
Reconstruisons des mythes
sur les murs ils s'effacent
comme la démocratie
Et ils rêves gentiment
bercés par les histoires politiques
que l'ont mènent un monde
sur les rives d'argent sales.
J'ai mon billet nananère
pour l'Amérique
j'ai droit au rêve enfin
j'ai droit au rêve.
Alors toi comme ça tu peux t'imaginer
Roi sur les théâtres d'ombre,
Oui, je suis Roi des antiquaires
sous mon masques de fer
sourires au dents vertes
ont voit le monde rurale encore
un simple cottage menacé
par les lois excentrique des éoliennes
et même de la coutures sauvage
des files de tissage électrique.
Les champs ne sont plus libres
la voie du bocage s'entend clamer au vide
le bruit des moteurs à l'eau
noyer l'affaire révolutionnaire
Et les anciennes blessures de guerre
restes intimement liée
mais le coeur bat encore la mesure
la tête résonne encore
le sifflement des corps étrangés
sont le point d'horizon meurtris des années folles.
Regarde de tes yeux crevés
le nouvel axe de l'univers
Regarde ce qui est arrivé
à tout foutre en l'air.
Moi je tire un trait à tout ça,
c'est ici que je veux vivre
pas sur une cicatrice mal fermé.
J'ai droit au rêve
j'ai droit au rêve enfin!
Y sont passé, ils ont voulus tout changer
ces marchands de sable.
Les papiers se plient en quatre
pour pouvoir rentré en ligne de conte.
Hé merde à la fin!
Le rideau est noir, un cauchemar d'enfant
des listes qui n'en finissent plus
de disparaitre sur les chemins de fer.
La porte est grande ouverte
je t'en empêche pas, tu es libre
comme le vent du marais
le reflet d'un visage hâve
sur les profondeurs du monde.