Lié ax bras des mères,
que l'ont se délaisse aux houles,
s'embrasser en vagues sentiments,
à l'abandont en plein la foule,
ce qui se noyent,des restes trop amer
Je n'est pas assé de gout,
et me plonger jusqu'au bout,
aussi loin en fond,au creu des mains,
en tracés,sans destinée,sans déssins.
reste qu'une esquisse au millieu du vide,
une esquife,aux traits oubliés,
comme un visage sans nom posé
sur une étendu aride.
Lié aux bras des mères,
ou se déchainent les chiennes,
elles rempent jusqu'au bord,
des sables aux inlassables murmures,
qui court sur les lèvres,en silence.
La perte est amer,
au coeur une marche si dure,
d'ou se traverse des ombres obscures,
de se qui reste dans les mains du désert
Je n'est pas assé de gout,
et me plonger jusqu'au bout,
engorger,au fond,au creu des mains,
en tracé,sans destinée,sans déssins
puisqu'au fond,ce qu'il en reste,
des sévices,au multiples facettes,
de ce qui se trouve si bien figé,
comme sur un visage mouillé.