Urbain mon adoré frangin
Tu fus plus mal un beau matin.
Nous nous aimions tout petit;
Nous nous aimions quand tu es parti
Vers cette vie que tu n'as pas choisi.
Au diable cette redoutée maladie,
Qui te bouscula dans ta nouvelle vie.
Et, en hommage à cette dure étape
De douleurs, de chagrins et de manques:
Soit béni là ou enfin, tu auras atterri.
Ainsi, quelque soit l'endroit: plus loin,ici
Tu sauras, je n'en doute vraiment pas
Nous refléter le sens sacré de la vie
Marla Joudix