Le Soleil se lève par dessus les maisons,
étirant ses rayons avec fièrtée.
Mais au loin
On aperçoit une ondulation encore indistincte,serpentant sur la montagne plus verte;
comme une muraille de Chine.
Et le calme Tibet quittant sa sereinité
le tambour battant dans les veines.
de la blanche neige qu'ils quittent
pour le pourpre qu'ils laissent.
Au ciel de larges ailes s'ébruitent.
S'inclinant au dessus de la mer;
répand sa colère,
comme des flammes.
Une tete perdue navigue sur les flots.
lèchant le rictus de l'eau.
Et reste un Goèlan flairant l'horizon sur son radeau de chaire.
que l'acalmie est devant,dit il.
je m'en vais trouver un pay sans guerre.
car ici,plus rien ne scintille.
Alangui sur la toiture d'une ruine
le Soleil s'en retourne d'ou il vient.