A ce qui est vécu, s’ajoute
Cet esprit de folies sans écoute
Me rendant épris d’une joie attristée
Pour garder ensuite la vue baissée
Des moments avec toi, sans lois
Et cela pendant des mois.
Mon cœur se passera de toi,
Même si je cède parfois.
Le risque, je l’ai pris
Sachant que je me serai évanouie
Sachant que tout serait fini
Avant même d’avoir dit «Oui»
Des pluies en fête,
Je ne peux affronter ce que j’ai en tête.
Me reste seule l’envie de disparaître
Trop peur de me reconnaître.
Je ne cesse de respirer profondément,
J’ai le cœur émietté graduellement,
Les larmes versées,
En mon âme blessée.
Pourquoi me fais-tu si mal ?
Petit cœur tout pale ?
Que dans un vent tu t’en ailles,
Pour effacer cette faille.
En laissant le froid,
Geler ce qui ne se dissout
Et la mer emporter,
Tant d’amertumes et de dégouts.
Une erreur, mon amour…
A cœur ouvert et en quête du jour.
De la lumière : « Au secours ! »
Dès à présent et pour toujours.
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