Quand le jardin d’Eden à la haine succombe
Quand la verte prairie est noyée par les tombes
Quand justice est rendu par l’éclat d’un costume
Quand la bonté jamais n’est autre que posthume
Le poète reçoit les faiblesses du monde
Qui amplifient sa foi, qui retendent sa fronde
Mais encrassent son cœur, envahissent ses veines
Et le poète meurt terrassé par la haine
Que la beauté du monde soit enfin dévoilée
Que plus jamais l’amour ne soit assassiné
Et que trace la plume un univers nouveau,
Et que meurt le poète pour que vivent ses mots
Bonjour à tous,
Voici un sujet qui me tient beaucoup à coeur, je vous en dévoile ci-dessus une ébauche.
Ce poëme ne réclame que vos critique aussi sévères que constructives.
Merci d'avance pour votre aide et votre accueil au sein de cette superbe communauté
Amitiés
Hearteasy