- Claude Romanus a écrit:
- Ma vive avance sans battement utile
Personne ne l'écoute alors qu'il sort de ma poitrine
C'est sa qui me fait vivre
Sans elle je ne pourait survivre
elle n'a de cesse de hurler ses plainte
mais les ténèbre étouffe ces lamentation éteinte
Dans le noir profond du désespoir, c'est avec un dernier souffle d'ami que je te dis au revoir avant de m'assoupir.
Dis,toi qui te lamente dans ma cage toracique
et dont des piallements calfeutrés
tentes de t'évadé comme un souffle contigu;
Attends que son regard soit plus domestique
et tu pourra éployer tes larges ailles dans les nues.
le silence n'aura pas été une choix juste
dans les bourrasques de tes tribulations
il faudra sur une solutions plus auguste
allumer les feux de ton inspiration
Et toi, toi qui ne reve que de liberté.
Toi qui du soleil voudrait t'approcher.
N'oublie pas qu'un coeur peut facilement s'embrasser.
Et que rever.
Et plus facile que de suivre la réalité.
Tu prefere etre cacher.
Derrière une montagne d'os et de chair.
Pourtant tu t'amuse a sortir de tant en temps.
Pour pouvoir un soir d'été.
Sous un ciel azur contempler l'horizon et la mer.