Des gradins de pierres adossés au ciel.
De cette épaisseur jaillit le songe.
Des années plus tard,le vert s'émerveille
et l'homme regarde près de son coeur,
l'illusion qui s'incline.
Les marche sont noirs,
le temps est passé pour l'histoire.
Dans le ventre de l'édifice,
le souvenir invincible au chant de la peau.
Maya,tes yeux sont si claires.
L'indicible est au bord de la main.
L'arme espère le repos en son ciel.
C'est le parole qui guette au crépuscule.
Il ne reste plus rien dans les tétes d'or
que l'ombre du soir.
Un pas certain dans l'avenir pour les autres.