Une main blanche comme le marbre,
Usée par le temps, s'adoucit
Dans une chevauchée macabre
De personnages flous qui me sourient.
Et sa peau rose granitée
Se sertit au fil des ans
De filons clairs et satinés;
Signes évolués du temps
L'écriture est le calice argenté
Dans lequel nous déversons l'essence de nos rêves
Dont les filaments à jamais s'entremêlent, mes pensées
Se mélangent, se construisent et s'achèvent.
Felim