( Haïku ) Paradoxe de l'haïku, aïe cul

Aïe cul
Paradoxe de haïku
Et pour paraphraser
Feu le grand poète Léo Ferré

" Libérez les sardines et y'aura plus de mareyeurs "

La propriété sexuelle
De toutes les propriétés, fait la part belle
Et puis, de la sexualité, c'est pour les riches
Au tout arrangé, au tout intéressé, au tout prostitué
Et puis, de la pauvreté, sans sexualité, frustration comme niche
De la sexualité de grande surface, comme pour la bouffe industrialisée
Vive le feu au cul
Le feu à l'haïku, ô aïe cul
Cela serait bien mieux
Que l'Amazonie en feu
Avec ses 500 millions d'hectares
De la cupidité des tyrans, il y en a marre
Au tout pollué
En 1) les voitures
En 2) l'agriculture
En 3) l'industrie
L'être humain, toute l'organisation du monde, le chie
Du feu ou du béton, de la pollution
Comme en France, au tout répression
Et chaque année, 60.000 hectares transformés en béton
De l'immonde monde, toute une production
1970, 75 kg de viande, par an, par personne
2019, 85 kg de viande, par an, par personne
Et de la barbaque, coût énergétique réactionnaire
Via toutes les nourritures intermédiaires
Volailles, vaches, veaux, cochons
Des élevages de poissons
Donc, 61 kg de soja par an et par personne, en équation
Toute une linguistique sociale, politique, économique
Mais, ouf, un peu de résistance, pour une autre dialectique !

Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur ( http://www.hiway-glk.fr/ )