Le fond est bleu,mais tes yeux sont noir
je m'y plonge sans ésité
et met la main au feu
le fil des jours se tend devan moi
je marche d'univers en univers
et disparait dans la pénombre.
la nuit vient à me perdre,
je vis un petit vers
me disant,le rayon s'approche!
glissant toujours plus,
de jours en jours
mes vetements se rongent par le vent
me reste que des lanbeaux de peau
émiettants ma route
qui vient a disparaitre devant moi.
La pluis tombe et ne s'arrete
des routes toujours plus noir
qui se tordent de douleur
et s'éffacent.
Empreintant le chemin d'écume
passant sur un pont
me mennant dans la ville endormie.
Entouré de réverbère
scrutant les trotoires,
un chat noir vient à passé
me jettan un sort.
Les maison s'allongent,
formant des chapeaux pointu.
Des fumés resortent de leur bouches
et allumes des yeux electriques.
J'ai chevauché les ombres
me dérobant au galop
dans des reves moins sombre.
Des reves;
me tournant et retournant,
mes yeux vinrent à s'ouvrir
perçevant enfin la réalité
entre quatre murs.