Couché sur ce divan, je reviens en arrière.
Sur du KHOLAL, ton image ressurgit
Enfouis pourtant au plus sépulcral de mes pensées,
Tu ressurgis malgré mon intense refus
Je me souviens de toi et de moi cote à cote
Nous deux contre tous, nous deux contre tout
Nous nous échappions, loin des regards indiscrets
Les ragots ne nous faisaient rien, nous étions connectés
Nous passions, ensemble, des heures de passions,
De rires,
Et parfois de larmes.
Nous étions au plus prés de l’alchimie
Dés fois, au bout de la nuit,
Tu posais ta tête sur mon nu torse en panique
Nous regardions les étoiles filer
Quelques une s’arrêtaient de temps en temps pour nous regarder,
Puis filaient lentement dans l’infinité de la nuit
Émerveillées par la beauté du spectacle qui sui s’offrait à elles
Nous nous amusions à leur donner des noms.
Au bout de la nuit,
Le silence nous envahissait paisiblement
Puis, Plus aucun mot,
Juste la mélodie de ton chaud souffle sur mon corps conquis
Deux rayons de soleil dans la nuit nous devenions
Et le ciel et ses étoiles nous contemplaient,
Tirant leur force de notre parfaite symbiose
Rien n’aurait pu nous séparer
Mais,
Même les étoiles s’éloignent un jour ou l’autre
Chacune dérivant vers l’infini, seule et éplorée,
Chacune perdant peu à peu de sa clarté
Jusqu'à s’assombrir
A JAMAIS.