C'était une négresse
Avec une grosse paire de fesses
C'était une femme noire
Aux seins en forme de poire
Elle n'allait pas à la messe
Mais elle avait sa religion
Ainsi que d'énormes nichons
Elle me faisait à manger pour dix
C'était chez elle, une idée fixe
Car elle voulait que je grossisse
Elle me trouvait maigrichon
Mais elle pensait, que j'étais un homme bon
Certaines maîtresses sont comme nos filles
C'est un vrai jeu de quilles
Certaines maîtresses sont comme nos mères
Cela rajeunit notre atmosphère
C'était ma première négresse
Et avec son air de matrone
Fallait pas que je déconne
Ce fut une rencontre éphémère
Juste le temps de s'envoyer en l'air
Mais elle était si lourde
Qu'au lit, elle en devenait gourde
Finalement, nous en restâmes là
Pour ainsi éviter le trépas
Patrice Faubert (1984) pouète, peuète, puète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "