J'envoie au diable le temps,assis sur le pas de la porte.Les draps froissés se reflètent dans le miroir de la vieille chambre aux contours effacés.Le vent trompeur se joue des arbres tandis que les amants lutinent la lune.Je suis puni par son regard et par l'horloge cruelle et j'aurai vingt ans l'été dernier.Collier de pierre,baiser cruel,marquise andalouse,mon lit est devenu trop grand,ferme tes yeux,adieu,j'ai tant aimé.