Par la fainéantise je me suis défini,
Autours de moi il n'y aura plus aucune vie.
Regardes-moi, là, allongé tel un homme mort
Et ne m'embrasses pas je n'bougerai pas c'est mon sort.
Sordide destinée que peut être la mienne,
Silencieuse fin, mes idées et ma vie furent vaines
Et tout, autours de moi, ne sera plus qu'un rien.
Poème de Malédiction de l'âme