Champ de blé que le chant libre de ta chevelure
Offerte à la houle apaisée des heures !
Ombres rêveuses t’éventant de leurs ailes en parures
Pour t’éviter tout malheur,
En te berçant de leurs roulis en fleurs !
Lèvres dessinant le souffle d’élans à venir sans pleurs.
Œil océan méditant les trajets vécus
Et ceux encore plus beaux à découvrir sans peur
Par un cœur qui mérite un infini bonheur ;
J’y vois un soleil rieur
Qui danse, à l’ombre de ses lueurs !