Le rocher du silence se penche
pour écouter la nuit.
Par dessus ton oeil,
la minute gouverne le semblant
de quelques repaires.
L'horloge vagabonde
accourt en ressentiment
et le chemin du réel s'assoupit.
Le mouvement vient prendre sa place
au décompte des heures.
Seul, tu n'as vu que le bruit:
La marche monotone du cadran de papier au souvenir.
Le passé qui souvent resurgit clame sa hauteur;
L'espoir incertain d'un voyage de secondes.
Elles se reposent au coin du feu.
Calligraphie de formes,mémoire d'un jardin.
Enfin,la sureté de l'étre en jachère