Les assoiffés
Une pluie de malheur, vit une lueur
Les pleurs fondirent au creux des limbes
Fou de peur, un jeune être devînt tueur
L’être troglodyte senti la chaleur
Un feu rageur monta le long du petit être
Les larmes et les pleurs restèrent feu rageur
Alors, pourquoi ? Pourquoi pleurs-tu petit homme ?
Je l’aimais, je t’aimais
Tu voulais, Je te parlais
Fais confiance, La science
Une pénitence, La sentence
Descendant le ciel bleu
Une blondinette me crucifia
Séquestré au creux de son nombril
Les péliades me cisaillèrent les yeux
Une foi qu’on m’aveugla
Je compris la vie
Alors, pourquoi ? Pourquoi pleurs-tu moucheron ?
Les assoiffés du Blablabla!
Ils nous discréditent
Ils m’épuisent de les entendre laïusser
Leurs discours panégyriques remplis de sophisme
-Ne lâché pas
-Vous dîtes ?
N’abandonner pas les quidams que vous embobinés
Vos vices de résonnement disgracient les plébiscites
Mais, nous n’y pouvons rien
Les faibles se courbent
C’est la genèse qui en est ainsi
Dicter par la naissance
Les faiblards dérivent au puits
Diriger par les fourbes,
Nous nous libérerons une fois rien
De qui ? De qui parles-tu Mr Le Cancre ?
De toi, de moi, de nous,
De femmes et d’hommes
Nous faisons la somme
Mes salutations
Anthropoïde